Deux mois après leur libération, les gendarmes ayant été accusés pour complicité de coup d’état et ensuite déclarés non coupables attendent du gouvernement 30 mois de salaire ainsi qu’une réhabilitation à leurs postes
Alors qu’ils montaient la garde le 7 Janvier à la maison de la radio de Libreville, ces soldats seront pris d’assaut par des commandos. L’un d’entre eux perdra même la vie en asseyant de déjouer le coup d’état. Plus tard, ils seront arrêtés et accusée de complicité avant qu’une cour martiale les déclare innocents 29 mois plus tard.
Après leur libération, ils peinent à joindre les deux bouts, et attendent que l’Etat leur redonne du travail. Par ailleurs, ils comptent sur les mois de salaire que l’Etat devrait leur payer, pour continuer à survivre.
L’Etat quant à lui, n’a pas encore répondu à cet appel.