Mardi, l’ex-président sud-africain a été condamné par la cour constitutionnelle à 15 mois de prison pour outrage à la justice car ce dernier a refusé de comparaitre devant la commission anti-corruption qui est chargée d’enquêter sur la corruption généralisée durant les neuf années où il a été au pouvoir.
Alors que le mandat de Jacob Zuma avait pris fin en 2018, plusieurs accusations de corruptions avaient été émient et certains hommes d’affaires sud-africains même été accusé de conspirer avec des politiciens pour que le processus décisionnel soit influencé. La cour constitutionnelle a donné 5 jours à l’ex-président de se présenter à la police. Il est à noter que depuis la création de cette commission en 2018, Jacob Zuma multiplie les stratagèmes pour éviter toutes explications en faisant valoir à chaque fois son droit au silence.